osteopathie

 

L’ostéopathe : qui est-il ?

Un ostéopathe est un professionnel de la santé dont l’approche du patient est essentiellement manuelle.
L’ostéopathe se forme tout au long de sa carrière, en développant ses compétences pour s’adapter au mieux aux problématiques de ses patients et à leurs besoins. Les diagnostics sont toujours posés avec précaution et les manipulations s’effectuent avec beaucoup de prudence.
Un ostéopathe compétent n’hésitera pas à réorienter un patient s’il estime qu’un autre spécialiste conviendra mieux pour le traitement.

 

Que soigne l’ostéopathie ?

L’ostéopathie couvrent de nombreux domaines. Nous vous proposons, à titre d’exemple, une liste de problématiques fréquemment rencontrées dans la pratique :

  • mal de dos, lumbago, torticolis, nerf sciatique bloqué,
  • blessures musculaires liées à une chute,
  • troubles digestifs,
  • troubles circulatoires,
  • troubles respiratoires,
  • céphalées,
  • difficulté à gérer son stress, anxiété,
  • douleurs liées à la pratique d’un sport, y compris pour les sportifs de haut niveau,
  • motifs liés à la grossesse, la naissance et la petite enfance.

Quelques exemples appliqués spécifiquement aux bébés :

  • trouble du sommeil,
  • déformation du crâne (« tête plate »),
  • hyperactivité,
  • mauvaise digestion,
  • difficulté pour téter ou avaler, mauvaise déglutition.

Ces listes sont bien entendu non exhaustives.

 

Déroulement d’une séance d’ostéopathie

Un traitement est un processus complet qui repose sur un diagnostic établi en trois phases : une anamnèse approfondie (questions/réponses), un examen clinique classique et un examen palpatoire spécifique du patient, au cours duquel l’ostéopathe sera attentif aux pertes de mobilité. Le diagnostic peut être complété par des examens cliniques ou paracliniques, si nécessaire.
La durée du traitement et la fréquence des visites dépendent du motif de consultation et de chaque patient.
À la fin d’une séance, votre praticien agréé vous remettra une attestation d’ostéopathie comprenant son numéro d’agrément, à remettre à votre mutuelle pour bénéficier du remboursement.